• CHAPITRE 355

    Ils s’embrassèrent à nouveau tandis que Derek commençait à caresser les seins de Meredith et qu’elle défaisait le cordon de son pantalon. Elle libéra sa verge fièrement dressée et entreprit de la branler doucement. Derek poussa un gémissement quand elle passa le pouce sur le gland qu’elle venait de découvrir. Elle se jeta à ses genoux et promena sa langue sur sa hampe jusqu’à son gland. Puis elle prit ce dernier en bouche, enroulant délicatement sa langue autour, le léchant tout en continuant sa masturbation. Elle avala enfin complètement le membre, le tenant quelques instants immobile au fond de sa gorge avant de le chatouiller avec sa langue et d’entamer de lents va-et-vient.

    Derek la fit relever rapidement et se colla à elle, les deux mains fichées sur ses seins qu’il malaxa avec douceur. Tandis que les doigts d’une main s’amusaient à taquiner un téton, les autres allèrent effleurer sa vulve. Ils écartèrent les grandes lèvres et trouvèrent le clitoris qu’ils titillèrent un peu avant de partir à l’assaut de son vagin qu’ils pénétrèrent avec ferveur. Quand ils en ressortirent, ce fut pour aller appuyer sur le petit bouton qu’ils firent tourner rapidement.

    Les mains agrippées sur ses épaules, les yeux mi-clos, le souffle court, Meredith dut faire un effort pour revenir à la réalité. On n’a plus beaucoup de temps, parvint-elle à articuler. Prends-moi, j’ai envie de te sentir en moi.

    Derek plaça ses deux mains en dessous des fesses de sa compagne et la souleva pour la porter jusqu’au mur contre lequel il l’adossa fermement. C’est tout naturellement que son phallus trouva l’entrée du vagin de Meredith et s’y glissa doucement. Un long soupir de satisfaction échappa en même temps aux deux amants. Derek se retira et, la tête dans le cou de Meredith, la pénétra à nouveau, d’un coup bien plus sec. Elle poussa un cri de plaisir et noua solidement ses jambes autour de la taille de son amant, comme si elle voulait s’assurer qu’il ne se retirerait plus avant la fin. Il l’empoigna par les fesses et lui asséna de profonds coups de reins, qui la firent rebondirent contre le mur, dans un petit bruit sec et régulier. Elle l’encouragea avec de petits cris, des gémissements, des mots d’amour, d’autres plus lestes, jusqu’à ce qu’elle le supplie de la faire jouir. Il accéléra la cadence et lu donna de multiples et rapides coups de boutoirs, jusqu’à ce qu’il sente qu’elle se raidissait. Un long cri, aussitôt étouffé dans son cou, lui confirma qu’elle avait atteint le plaisir. Il ne fallut plus que quelques allers et retours de son phallus dans l’étroit fourreau pour qu’à son tour, dans un ultime râle, il expulse sa semence en de longs jets.

    Il se retira lentement de Meredith avant de la redéposer au sol. Comme elle était toute tremblante, il la soutint un moment. Ils reprenaient leurs souffles lorsque le bipeur de Meredith sonna. Oh là là, je vais être en retard. Bailey ne va pas me rater cette fois, dit la jeune femme en sautant sur ses vêtements qui gisaient à terre.

    Tu veux que je te fasse un billet d’excuse ? demanda Derek en s’esclaffant.

    Moque-toi ! lança Meredith tout en se rhabillant à une vitesse record. On voit bien que ce n’est pas toi qui vas devoir affronter le Nazi.

    Derek prit un air faussement innocent. Dis donc, c’est toi qui as voulu ! Moi, j’étais contre, prétendit-il.

    Ah bon ! Je ne l’avais pas remarqué, dit Meredith en souriant. On se voit plus tard ? Elle lui donna un rapide baiser sur les lèvres et s’enfuit.

    Derek se rhabilla plus à son aise, un sourire de grande satisfaction sur les lèvres. Mais il se rembrunit dès qu’il sortit de la salle, en apercevant Mark qui, l’air goguenard, guettait son apparition. Tu es là, toi ? Justement, je voulais te voir, lui annonça-t-il, le regard mauvais.

    Tu veux faire profiter ton meilleur ami du récit de tes exploits en salle de garde ? plaisanta Mark.

    Derek le foudroya du regard. Je veux surtout qu’il cesse d’interférer dans ma vie en racontant des inepties. Qu’est-ce qui t’a pris d’aller dire à Meredith que j’avais eu une aventure avec Helen ? reprocha-t-il à son camarade. Et aussi que Hawkins me plaisait ? Tu sais pertinemment que l’un comme l’autre, c’est faux.

    Mark écarta les deux bras, en signe d’impuissance. Bah ! Je voulais juste m’amuser un peu. Est-ce que j’en peux, moi, si ta copine prend tout au premier degré ? Et puis, au lieu de m’engueuler, tu devrais me remercier. Je trouve que tu as l’air particulièrement épanoui. Cette petite séance semble t’avoir fait beaucoup de bien. Alors, tu racontes ? demanda-t-il sur un ton égrillard.

    Derek ne put se retenir de rire devant l’air avide de ragots de son ami. Tu peux toujours rêver ! Le jour où tu reprendras contact avec la femme de ta vie, je te raconterai ce que je fais avec la mienne.

    Mark se renfrogna aussitôt. Rabat-joie ! Faux frère ! Et dire que tout le monde te prend pour un brave type ! lança-t-il d’une voix plus forte, alors que son ami commençait à s’éloigner.


  • Commentaires

    1
    Nolcéline 97234
    Vendredi 22 Avril 2016 à 21:54

    Bonsoir à tous,

    Je cite:

    "(...)

    Derek ne put se retenir de rire devant l’air avide de ragots de son ami. Tu peux toujours rêver ! Le jour où tu reprendras contact avec la femme de ta vie, je te raconterai ce que je fais avec la mienne."

     Lol bien dit Derek cool 

    S'amuser aux dépens de Meredith ça c'est facile mais quand il s'agit d'y aller et oser appeler Addison il n'y a plus personne on ne rigole plus ... yes . Bon vendredi soir et bon week-end à tous.

     

     

     

    2
    sammy
    Vendredi 22 Avril 2016 à 22:44

    Derek a raison. Que Mark aille retrouver Addison et ensuite qu'il arrête de taquiner Meredith même Si Derek y trouve son compte tongue

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