• CHAPITRE 218

    Tirant Meredith à sa suite, Derek grimpa quatre à quatre les escaliers le menant à leur chambre. A peine la porte refermée sur eux, il enlaça la jeune femme, la serra contre lui et posa ses lèvres dans son cou. Elle se laissa embrasser, tandis qu’il caressait délicatement son dos d’une main, et que l’autre s’aventurait sous son pull. Sans cesser de la bécoter, Derek la prit par les hanches et la fit reculer doucement dans la pièce. Sa bouche prit possession de la sienne, tandis qu’il partait à l’assaut de son haut dont il la débarrassa en quelques secondes, avant de s’attaquer à son soutien-gorge qu’il lui enleva tout aussi rapidement.

    Lorsqu’il écarta son visage de celui de la jeune femme, il fit promener ses mains sur ses seins avant de les glisser le long de sa chute de reins, jusqu’à ses fesses qu’il sentit se contracter sous le tissu du pantalon. Elle se serra contre lui et commença à se frotter, presque imperceptiblement, suffisamment toutefois pour qu’elle sente le pénis de son amant se durcir un peu plus contre son bassin. Derek fit tomber leurs pantalons puis, s’emparant à pleines mains des fesses galbées de Meredith, il dirigea les va-et-vient de cette dernière pour qu’elle puisse frotter sa vulve contre sa cuisse musclée. Elle ondula plus fort du bassin. Tandis que, d'une main, elle lui caressait les fesses, de l'autre, elle écarta la ceinture de son boxer pour y insinuer ses doigts. Elle alla du gland humide aux bourses gonflées par l'envie, qu'elle massa délicatement. Mais le sous-vêtement de son compagnon la gênait, alors elle l’enleva. Un peu après, elle écarta le bord de son tanga pour permettre enfin le contact direct de leurs deux sexes. Au passage, elle ne put s'empêcher de caresser son clitoris gorgé de sang. C'était trop bon, trop fort, ce simple geste manqua de la faire jouir.

    Elle se plaqua contre Derek et, refermant la main sur son membre, le branla. Sans cesser de masturber son partenaire, elle se laissa glisser le long de son corps et déposa de petits baisers furtifs sur le bout sensible. Sa langue frétillante titilla le méat et lécha l'extrémité de la verge devenue énorme, pendant que son autre main se promenait entre les fesses. Elle laissa glisser sa main jusqu'à la base du pénis et, de sa bouche gourmande, aspira ce dernier. Elle le sentit frémir. Ses allers et retours se firent plus rapides. Derek posa ses mains sur sa chevelure et l’accompagna dans ses mouvements, se retenant pour ne pas exploser entre ses lèvres qui l’avalaient, en se resserrant sur la partie la plus sensible. Très vite, n'y tenant plus, il saisit Meredith sous les aisselles et l'obligea doucement, mais fermement, à se relever.

    Dans le mouvement qu'elle fit pour se redresser, la jeune femme en profita pour retirer son tanga et, regardant son partenaire avec des yeux luisants de désirs, s'amusa à caresser l'extrémité de son gland avec le sous-vêtement. Lorsqu’elle fut debout, Derek s’agenouilla devant elle, laissant ses lèvres glisser sur son corps au fur et à mesure de sa descente. Elle passa la main dans ses cheveux. Le visage enfoui entre ses cuisses, il posséda sa vulve à coups de langue et suça doucement son clitoris avec ses lèvres.

    Peu après, Meredith releva le visage du chirurgien vers elle pour qu’il la regarde. Viens, dit-elle, déjà haletante. Le regard triomphant, il se remit debout et la reprit dans ses bras. Il fit passer ses mains sur ses épaules, le long de ses bras, puis les laissa courir sur ses seins dont les bouts se dressèrent sous la caresse, enfin sur son dos avant de s’arrêter à ses hanches. Elle passa ses bras autour de son cou et l’embrassa presque brutalement.

    Alors, il prit ses fesses à pleines mains et la souleva de terre. Instinctivement, elle serra les jambes autour de sa taille. Elle sentit les mains chaudes de son amant se crisper sur ses fesses, ses doigts impudiques qui caressaient son anus, son phallus tendu qui cherchait son intimité. Vas-y… là maintenant… prends-moi, lui souffla-t-elle à l’oreille. Il la laissa glisser doucement jusqu’à ce que leurs sexes se retrouvent au même niveau. Sa verge n'eut aucun mal à se frayer un passage entre les grandes lèvres gonflées d'envie et inondées de plaisir. Meredith l’accueillit en gémissant.

    Après quelques allers et retours, il la plaqua contre le miroir et libéra sa main droite pour caresser le clitoris. Elle commença à perdre pied et, très vite, ne discerna plus l'origine de son plaisir, les doigts agiles dansant sur son petit bouton ou la verge raide fouillant son antre. Mais il la reprit très vite dans ses bras pour la posséder avec plus de force. Le dos contre le miroir, les jambes nouées de toutes ses forces autour de la taille de son compagnon, elle ressentit au plus profond d'elle les coups de boutoir qui la défonçaient littéralement. Elle allait jouir ! Elle allait jouir ! Elle était accrochée à Derek comme un naufragé l’est à sa planche de salut. Le visage enfoui dans son cou, la bouche grande ouverte sur sa peau, elle mobilisait toutes ses forces pour ne pas crier, tant son plaisir était intense. A chaque coup de rein, elle s'arc-boutait et se cambrait pour ressentir au plus profond les assauts frénétiques de la verge.

    Lorsqu’elle sentit la vague de plaisir monter en elle, elle se laissa submerger. Lui aussi était au bord de l'explosion. Il sentit les premières contractions violentes de sa verge. Elle gémit en mordillant la peau de sa joue, il ahana en lui léchant le lobe de l'oreille. Et enfin, comme s’il voulait la transpercer, il la pénétra d'un ultime coup de rein, jusqu’au plus profond de son vagin. Et enfin, comme si elle voulait l'engloutir totalement, elle se cambra pour sentir son sexe l’envahir toute entière. Le raz-de-marée de la jouissance déferla. Il se laissa emporter par les spasmes de son membre déversant sa semence. Elle accueillit, avec un râle de femelle en chaleur, le sperme chaud qui inondait son ventre. En cet instant, les deux amants ne formèrent plus qu'un seul être, communiant dans un orgasme hors du commun.


  • Commentaires

    1
    Nolcéline 97234
    Mardi 6 Octobre 2015 à 19:36

    Bonsoir à tous merci pour la suite après cette promenade ils se sont bien retrouvés tongue

    Bonne soirée à tous.

    2
    sammy
    Mardi 6 Octobre 2015 à 23:45

    Que dire tonguetongue

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