• CHAPITRE 186

    Je ne sais pas comment tu fais, dit Derek avec passion, mais tu arrives à me bouleverser d’une façon ! Il embrassa Meredith amoureusement tout en lui caressant les cuisses. Tu n’imagines même pas… Je suis fou de toi.

    Elle le regarda, le souffle court et le cœur battant à cent à l'heure. Et moi de toi. Jamais personne ne m’a mise dans cet état-là. Elle prit la main du chirurgien et la posa sur sa vulve déjà dégoulinante de plaisir. Il passa les doigts sur ses petites lèvres qu’il écarta avec une lenteur calculée. Pour l’exciter davantage, il titilla légèrement son clitoris qui était déjà dur. Il accentua la pression et massa de l’index et du majeur l’entrée de son vagin. Il fit de petits mouvements circulaires plus ou moins appuyés qui la rendirent folle. Des soupirs de plus en plus forts s’échappèrent des lèvres de la jeune femme. Elle tendit son corps vers son amant et ouvrit plus les jambes. Elle voulait ses mains sur elle, elle voulait sa langue autour de la sienne et elle voulait son pénis dans sa main.

    Derek devina ses pensées et la mit debout, contre lui. Prends-le. Tu peux en faire ce que tu veux. Il est à toi.

    Meredith plongea sa main dans son boxer pour saisir son sexe et sourit en sentant l’impressionnante érection. Elle aimait éprouver le pouvoir qu’elle avait sur lui. Elle enroula ses doigts tout autour de son pénis pour le masturber et décalotter son gland. Derek ne retint pas ses gémissements lascifs. Cela ne l’empêcha pas de lui caresser les seins et de pincer plus ou moins fort ses tétons. Le baiser qu’il lui donna la torpilla. Elle n’en put plus d’attendre. Il le devina et abandonna ses lèvres pour retirer son boxer. Elle descendit de la table et s’agenouilla devant lui, admirant sa verge tendue à l’extrême. Il se branla doucement et, impudique, lui demanda si elle aimait le voir faire. Il sut qu’il ne devait pas attendre la réponse et commença à caresser l’épaule, le cou, le visage de Meredith avec son membre jusqu’à ce qu’il le positionne au niveau de la bouche de sa partenaire, pour caresser ses lèvres. Elle les ouvrit pour croquer ce fruit trop mûr, et sortit la pointe de sa langue pour lécher le gland. Soudain, elle avala d’un seul coup le phallus gonflé. Derek eut un hoquet de surprise et s’agrippa à la table. Elle savoura la friandise qu’elle avait en bouche. Elle n’était pas lubrique mais elle s’avoua qu’elle aimait ça, sentir cette verge se durcir davantage entre sa langue et son palais, la sucer sur toute sa longueur, la prendre dans une main, la branler vigoureusement pour voir le gland rougir, la remettre dans sa bouche, faire glisser sa langue tout le long et se délecter de son odeur. Etonnamment, elle éprouva le besoin de le dire. Mmm… j’aime te prendre dans ma bouche. C’est trop bon. Elle passa sa langue sur le gland.

    Oh oui, c’est bon, répondit Derek d’une voix étranglée. J’adore quand tu me suces.

    Et moi, j’adore te sucer, répliqua Meredith, toute excitée. Elle empoigna d’une main ferme, mais néanmoins douce, les bourses chaudes et joua avec elles, les faisant rouler, avant de remettre en bouche l’objet de toute son attention. Derek gémit doucement. Elle revint lécher son sexe, de bas en haut, le reprenant tout entier dans sa gorge, l’enserrant, le faisant glisser au fond, avec beaucoup de douceur, faisant attention à ne pas le faire jouir. Lui, il caressait le haut de son corps pour tenter d’attraper un de ses seins. Quand il y parvenait, il en pinçait le bout, doucement au début pour le faire dresser puis plus fort pour la faire gémir. Elle ressentit des décharges électriques dans le corps. Elle lâcha son sexe et se releva pour lui prendre la main. Viens… Prends-moi… Je veux t’avoir en moi.

    Ne sois pas si pressée. Derek la rassit sur la table et lui fit reprendre sa positon de totale ouverture. Il reprit possession d’elle avec deux doigts. Il caressa d’abord les petites lèvres qu’il ouvrit en y introduisant juste le bout de l’index. Puis, il le plaça sur son clitoris qu’il massa en imprimant des mouvements circulaires qui arrachèrent des gémissements de plaisir à son amie. Il parcourut son sexe, entra dans son vagin sur quelques millimètres, pour en ressortir puis s’enfoncer davantage. Les yeux fermés, Meredith accompagna ses gestes par des mouvements de bassin, allant à la rencontre de ses doigts pour qu’ils la prennent plus profondément. Un cri sortit de ses lèvres quand elle sentit que les doigts étaient remplacés par la langue. Derek la goûta, la lécha, la lapa, la pourlécha, la dévora, se reput d’elle. Quand il sentit que le plaisir montait en elle, il câlina plus particulièrement son clitoris. Lorsqu’elle fut emportée par un raz-de-marée, il se redressa et la regarda jouir. Il ne perdit pas de temps pour lui faire placer les fesses tout au bord de la table. Dans un geste naturel, elle enroula ses jambes autour de ses hanches. Il la pénétra aussitôt en un doux va-et-vient. Sous l’effet des derniers spasmes de sa jouissance, Meredith resserra ses muscles intimes autour du membre de Derek, ce qui fit frissonner ce dernier et gémir. Il plaça ses mains sur les seins de Meredith pour les caresser amoureusement. Elle posa les siennes sur ses fesses, pour sentir leurs muscles se contracter à chaque pénétration. Il colla ses lèvres à l’oreille de sa partenaire. Tu sens comme elle est dure ?

    Oui, oui, geignit-elle.

    Et comme elle est grosse ? Déjà à bout de souffle, Meredith se contenta d’opiner de la tête. Elle est assez grosse pour toi ? Dis-moi, insista Derek, bien décidé à avoir une réponse autre qu’un simple signe de tête.

    Elle comprit ce qu’il attendait d’elle. Oui… elle est énorme. Je l’adore… Elle me rend folle. N’arrête pas.

    Derek continua ses mouvements tendres et amples, avec un rythme régulier jusqu’à ce qu’elle jouisse intensément. Alors, il plongea une dernière fois en elle et se vida en de longs jets. Elle resserra ses jambes autour de sa taille et l’obligea à rester au fond d’elle. Respiration saccadée… corps en sueur… Il la regarda dans les yeux, l’embrassa et colla son front contre le sien. Ils restèrent là, un peu en dehors du temps, tellement enlacés qu’ils ne savaient plus où commençait le corps de l’un et où finissait celui de l’autre.


  • Commentaires

    1
    Nolcéline 97234
    Vendredi 21 Août 2015 à 19:57

    Bonsoir à tous, excitation, passion... waouh tongue Bonne soirée et bon week-end à tous.

    2
    fanfaniche
    Vendredi 21 Août 2015 à 20:55

    Chaud bouillant ce soir, avec une Meredith multi- orgasmique !.................

    3
    sammy
    Vendredi 21 Août 2015 à 23:59

    C'est excessivement chaud ce tonguetongue

    4
    llindagr54
    Samedi 22 Août 2015 à 13:48
    C'est ultra chaud!
    5
    etoile26
    Samedi 22 Août 2015 à 15:10

    Ils ne pourront pas dire qu'ils ont eu froid pendant leurs vacances ses deux la

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