• CHAPITRE 162

    Derek se sentait près à exploser. Il la voulait, elle, Meredith. Il voulait l’embrasser, il voulait son corps, le sentir trembler sous ses doigts, étouffer ses cris de plaisir. Mais avant tout, il voulait toucher, redécouvrir chaque centimètre carré de sa peau. L’asseyant sur le lit, il se mit derrière elle et massa doucement son dos à la peau si douce, relevant ses longs cheveux pour l’embrasser dans le cou. Il explora chaque parcelle de son dos, caressant sa taille, ses hanches bien faites, la naissance de ses fesses. Il aimait ses formes, elle était parfaite, à ses yeux du moins. L’entourant de ses bras, il saisit les deux seins de son amie dans ses mains pour les malaxer doucement. Elle se colla à son torse et leva les bras pour les enrouler autour de son cou, dans une position qu’elle adorait. Elle tourna légèrement la tête et ouvrit ses lèvres. Ils s’embrassèrent voluptueusement tandis qu’il commençait à masser délicatement le clitoris de Meredith avec son index. Elle écarta aussitôt les jambes en gémissant longuement.

    C’est bon ? lui demanda-t-il à voix basse.

    Oui, répondit-elle, le souffle court. N’arrête pas.

    J’en ai pas l’intention. Derek accentua un peu la pression de son index. Tu veux que je te prenne avec mes doigts ? Meredith acquiesça mollement d’un signe de tête, comme si elle était déjà sans force, anéantie par le plaisir qui la tenaillait. Tandis que le pouce prenait la relève de l’index, celui-ci glissa en compagnie du majeur jusqu’à l’entrée du vagin dans lequel ils s’introduisirent sans plus attendre.

    Les gémissements de Meredith s’accentuèrent au fur et à mesure que les doigts de Derek la possédaient. La tête reposant contre l’épaule de son partenaire et les yeux mi-clos, elle guettait l’instant où le plaisir allait enfin déferler en elle. Continue, haleta-t-elle soudain. N’arrête pas. Continue… Je vais… je vais…

    Tu vas jouir, mon amour ? Seul un petit cri apporta à Derek la réponse qu’il attendait. Tu veux que j’aille plus vite ?

    Non, c’est bon comme… Meredith n’eut pas le temps de terminer sa phrase. Les ondes de plaisir se diffusèrent dans son sexe et son ventre, lui arrachant d’autres gémissements. A peine Derek eut-il retiré ses doigts d’elle, qu’elle se retourna pour s’asseoir face à lui, en tailleur. Ces prémisses avaient aiguisé son appétit. Les bras autour du cou de son amant, elle le dévora de ses baisers sensuels. Se serrant contre lui, elle sentit son membre dur qui s’appuyait contre sa cuisse. Quand il prit ses seins en bouche, elle gémit et, plaçant ses mains derrière elle, s’appuya dessus, les cuisses écartées. Elle sentit des doigts pincer son téton gauche, presque douloureusement, ce qui la fit se cambrer encore plus, tandis que le sein droit était soumis aux tendres baisers de son partenaire. Celui-ci se rapprocha, leva les jambes de sa compagne pour les glisser par-dessus les siennes et écarta doucement avec ses doigts les petites lèvres trempées. Il avança encore un peu, jusqu’à sentir l’entrée de son sexe. Elle s’accrocha à lui quand il la pénétra doucement et ils gémirent de concert. Elle l’embrassa avidement, colla ses seins contre lui et s’empala jusqu’au bout. Elle contracta ses muscles pour le sentir encore plus. Il ne bougea pas, la laissant coulisser sur son pénis en feu, se contentant d’abord de l’entourer, de l’embrasser encore et encore de caresser ses fesses qui se soulevaient.

    Tout à coup, il la fit basculer sur le dos. Elle se sentit partir en arrière et le pénis sortir doucement d’elle. Derek la souleva et plaça ses cuisses sur ses épaules. Penché sur elle, il s’introduisit en elle, profondément. Elle cria, avec l’impression que toutes ses sensations étaient multipliées par la grosseur du sexe enfoncé profondément en elle. La douceur de ses caresses laissa la place à un fougueux va-et-vient de plus en plus rapide. Lui tenant ses fesses, il s’enfonça, se retira, s’enfonça encore un peu plus, tout en regardant les seins de sa compagne se balancer sous ses coups de reins. Meredith ferma les yeux. Son plaisir était immense. Elle ne pouvait s’empêcher de crier pour encourager Derek. La vague de volupté allait l’emporter quand il ralentit le rythme et lui caressa le clitoris en même temps. L’orgasme fut énorme. Agitée de soubresauts, elle sentit qu’elle l’inondait. Il l’embrassa, lui caressa le visage en lui susurrant des mots doux. Elle ouvrit les yeux sur le visage triomphant de son amant.

    Il était toujours en elle, il n’avait pas encore joui. Alors, pour le satisfaire à son tour, elle se mit à quatre pattes, les cuisses écartées, les mains sur l’oreiller, et l’invita à revenir en elle. Elle eut l’impression qu’il la transperçait, et tandis qu’il la fouillait avec ardeur, elle gémit encore. Lui, agenouillé, la tenait par les hanches, lui faisant faire des allées et venues sur son sexe. La vision était splendide, sa verge avalée par le vagin de Meredith, les petites fesses de cette dernière ouvertes sur son anus qu’il n’osait pas toucher de peur de la braquer… Il se dit qu’ils avaient encore tellement de choses à découvrir ensemble. Il était si bien, au chaud en elle. A cet instant précis, il fut frappé par une certitude qui l’épouvanta autant qu’elle le réjouit. Quoiqu’il arrive, plus jamais il ne pourrait faire l’amour à une autre femme. Il s’activa un peu plus.

    Jetant un regard entre ses cuisses ouvertes, elle vit son propre sexe engloutir celui de Derek. Cette vue la combla. Elle commença à caresser son clitoris gonflé. Elle se cambra un peu plus, sentant la vague de tout à l’heure revenir. Au moment où elle l’envahit encore, elle cria et sentit les spasmes du sexe de son partenaire en elle. Ils jouirent en même temps qu’elle et retombèrent épuisés, l’un à côté de l’autre. Il la prit dans ses bras, frissonnant, encore à vif. Elle se lova contre lui, haletante et le sang battant à ses tempes.


  • Commentaires

    1
    Nolcéline 97234
    Lundi 22 Juin 2015 à 20:40

    Bonsoir à tous, merci pour la suite frissons , passion tout y est oops .

    Bonne soirée à tous.

    2
    sammy
    Mardi 23 Juin 2015 à 00:38

    Magnifique !!! Que d'amour tongue

    3
    valerie
    Mardi 23 Juin 2015 à 00:42

    Ben dit donc, fait très, très chaud ce soir.tongue

    Si leur projet de vacances au soleil se confirme, elles vont être très hot.

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