• CHAPITRE 161

    Meredith n’eut pas le temps de rentrer dans sa chambre que Derek la saisit par la taille et l’entraîna à travers la pièce dans un tourbillon de rires. Il la poussa vers le fond, entre le mur et l’armoire, le regard baissé sur elle, la bouche gourmande. Il l’embrassa longuement, forçant la bouche de la jeune femme pour y introduire sa langue curieuse et impatiente, tandis qu’il caressait ses seins à travers le tissu de son pyjama. Ensuite, il détacha ses lèvres de celle de sa partenaire et regarda celle-ci dans les yeux, avec un air effronté. Un frisson parcourut le dos de Meredith. Collée contre le mur, électrisée par ce regard qui emprisonnait le sien et refusait de le libérer, elle attendit que Derek prenne les choses en main. Au comble de l’excitation, Derek eut envie de déchirer ce maudit tee-shirt, de dévorer les jolis seins ronds de son amie et de la prendre là, contre le mur. Mais il n’en fit rien. Il allait être tendre, goûter chaque parcelle de sa peau, caresser doucement sa poitrine, l’embrasser partout, prendre son temps avant de la regarder jouir sous ses attouchements. Alors seulement il la pénétrerait... pour sentir son corps vibrer sous le sien et ne faire qu’un avec elle. Il prit son visage entre ses mains chaudes et larges. Tu me rends complètement dingue, Meredith, déclara-t-il dans un souffle. Plus rien d’autre que toi ne compte dans ma vie.

    Ces mots résonnèrent à l’oreille de la jeune femme qui fut comme électrisée. Elle glissa ses mains sous le tee-shirt de son amant, en le remontant petit à petit, tout en caressant son torse musclé. Quand elle lui eut tout à fait retiré son vêtement, ce fut au tour du chirurgien de lui enlever son haut. Elle sentit une onde de désir la saisir. Elle se cambra en arrière pour offrir ses seins nus à sa bouche et ferma les yeux pendant qu’il les léchait, suçait, tétait, mordillait. A un moment, elle prit la tête de Derek entre ses mains pour la relever vers elle et pouvoir le regarder quelques secondes. Il était si sexy, avec sa tignasse un peu décoiffée. Elle ne se rappelait pas avoir jamais désiré un homme aussi fort. Et pourtant cela faisait un an déjà qu’ils se connaissaient et faisaient l’amour. Mais rien ne venait jamais éteindre le feu qui la consumait quand elle était avec lui.

    Derek se redressa complètement et ils restèrent tous les deux, debout, se contemplant avec amour, résistant à l’envie de se sauter dessus. Meredith était tellement désirable ainsi, à moitié nue, si petite que Derek mourrait d’envie de la prendre dans ses bras, de la protéger, de lui faire l’amour jusqu’à la fin des temps. Il sentit que son sexe dur réclamait un contact, des caresses. Il n’en put plus de ne pas la posséder. Alors, il s’agenouilla devant elle afin d’abaisser son pantalon de pyjama, caressa son mollet en lui enlevant la première jambe, et fit de même avec la seconde. Meredith, qui ne quittait pas des yeux le dos de son amoureux, avec ses beaux cheveux bruns qui ondulaient un peu, se laissa faire, docile, espérant que puisque la tête de Derek se trouvait juste au niveau de sa vulve frémissante, il allait s’en occuper, mais il se releva. Elle était déjà nue mais il la regarda tellement intensément qu’elle eut l’impression que ses yeux la déshabillaient encore une fois. Elle en frissonna. Il ne fallut que quelques secondes - mais elles lui semblèrent interminables - avant qu’enfin il ne pose ses mains sur elle, sur ses hanches, la poussant délicatement vers le lit. Le contact avec sa peau nue, si veloutée, si douce, ajouta une tension de désir dans sa verge déjà tendue à l’extrême.

    Allongée sur le dos, une jambe pliée, elle laissa son bel amant l’embrasser tendrement, tandis qu’elle posait une main sur ses hanches, puis sur la cuisse, enfin sur ses fesses qu’elle caressa doucement. Elle le regardait comme si elle le voyait pour la première fois, son visage aux traits virils, ses lèvres charnues, ses yeux dont l’intensité la faisait chavirer, ses beaux cheveux, son torse en trapèze, ses bras musclés et enfin, son sexe gonflé de désir dont elle mourrait d’envie de s’occuper. Elle se tourna sur le côté, obligeant Derek à s’allonger sur le dos. Elle posa sa main sur sa poitrine. Il poussa un petit soupir pour l’encourager à l’explorer un peu plus, le nombril… le ventre… le pénis en érection… Là, il se mit à respirer un peu plus vite. Au moment où Meredith saisissait le phallus qui venait presque contre le ventre de son propriétaire, elle entendit celui-ci soupirer. Elle colla sa bouche contre celle de son ami, tout en continuant à le caresser doucement, faisant de petits va-et-vient avec sa main gauche. Il gémit. Avec une lenteur étudiée, elle quitta sa bouche pour se diriger sur son menton, lui appliquant des dizaines de baisers plus ou moins appuyés, puis sur son torse où ses baisers se transformèrent en succions sur les tétons. Il l’encouragea par des caresses dans les cheveux, jusqu’au moment où il lâcha un "oui" qui voulait tout dire.

    Elle était alors au niveau de son nombril. Décidant de laisser ses seins prendre le relais de ses mains, elle les serra l’un contre l’autre pour emprisonner la verge dans ce nid douillet. En entendant son homme haleter, elle mesura le pouvoir qu’elle avait sur lui et cela provoqua une onde de plaisir entre ses cuisses. Sa bouche vint enfin s’emparer de la longue tige qu’elle goûta d’abord entre ses lèvres, lui donnant des caresses douces avant de lécher le gland frétillant.

    Oh oui, suce-moi, geignit Derek. J’adore ça. Ta langue… elle est si douce… Prends-moi dans ta bouche… bien au fond… Serre bien tes lèvres autour… Oh nom de dieu ! J’aime trop quand tu me suces comme ça. C’est trop bon ! Il la regarda en train de lui faire cette fellation, à quatre pattes, ses petites fesses rondes en hauteur, sa bouche pulpeuse se déplaçant sur son sexe. Son bassin se souleva vers elle sous l’effet de son plaisir immense. Il se mordit l’intérieur des joues pour ne pas hurler quand elle caressa ses testicules gonflées. Subitement, elle s’arrêta et revint l’embrasser, frottant sensuellement ses seins contre son torse.


  • Commentaires

    1
    Nolcéline 97234
    Vendredi 19 Juin 2015 à 23:05

    Bonsoir à tous, eh bien Meredith a bien fait d'aller récupérer  une bouteille d'eau dans la cuisine parce qu'ils en auront besoin c'est certain parce qu'il fait vraiment chaud dans cette chambre.tongue Bonne nuit et bon week-end à tous.

    2
    sammy
    Samedi 20 Juin 2015 à 00:50

    Ils ne sont jamais rassasié ces deux là tongue

    3
    valerie
    Samedi 20 Juin 2015 à 01:01

    Ça va pas calmer leur soif tout ça oops

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