• CHAPITRE 1154

    Meredith ferma les yeux et s’arc-bouta en renversant sa tête en arrière. Oh c’est bon, geignit-elle.

    Regarde-moi encore, la supplia Derek, dont le pénis commençait à lui faire mal, tellement il était tendu d’excitation. Lorsqu’elle lui eut obéi, il lécha à nouveau la petite excroissance en appuyant un petit peu dessus, avant de la titiller du bout de son doigt, tout en gardant son regard posé sur sa partenaire.

    Celle-ci ne tint que quelques secondes avant de se laisser retomber sur le matelas. Lèche-moi, haleta-t-elle en écartant encore plus ses jambes en équerre, presque en grand écart. Prends-moi avec ta langue… j’en ai trop envie. Ne voulant pas la torturer plus longtemps, Derek s’exécuta aussitôt et passa quelques fois le bout de sa langue sur le clitoris avant de l’introduire lentement à l’entrée du vagin qu’il lécha avec entrain.

    Oh… chéri… c’est… mmm… c’est bon… c’est trop bon, ânonna la jeune fille en se tortillant sous l’effet du plaisir. Ta langue… elle me rend folle… ooooh… oui… oui, là… c’est bien, continue, l’encouragea-t-elle alors qu’il revenait câliner son petit bouton. Mmm… mmm… n’arrête pas… lèche-moi encore… oh ouiiii… prends-moi avec tes doigts… Mets tes doigts ! cria-t-elle presque hystérique, parce qu’il n’avait pas réagi assez vite à sa demande. Elle geignit longuement en sentant que son amant la pénétrait de trois doigts. Je… je crois que… je vais… jouir, gémit-elle après quelques secondes. Il accéléra le rythme de ses caresses et la sentit qui se raidissait. Non, non, attends, beugla-t-elle en se relevant pour le repousser, sans se préoccuper de son air interloqué. Je ne… je… Elle posa la main sur le torse de Derek qui s’était redressé et la fit descendre lentement jusqu’au phallus qui était bandé à l’extrême. J’ai envie de te sucer, murmura-t-elle en saisissant à pleine main le bel organe. Mmm… Elle passa le pouce sur le méat avant d’entamer une très lente masturbation. J’en ai trop envie, chéri… Te sucer pendant que tu me lèches…

    Derek se jeta littéralement sur Meredith. Oh mon amour… j’adore quand tu es comme ça. Il prit goulûment la bouche de sa compagne tandis que ses mains repartaient fébrilement à l’assaut de son corps, caressant tout ce qui passait à leur portée. Cependant, il se sépara rapidement des lèvres pourtant tant aimées, car il était pressé de goûter aux plaisirs que son amie lui avait fait entrevoir. Il la libéra du poids de son corps en se mettant à genoux à côté d’elle et, après avoir encore une fois caressé un sein et sucé brièvement un téton, il la fit rouler sur le côté avant de s’allonger face à elle, tête-bêche, de sorte que leurs visages se retrouvent face au sexe de l’autre. Il était à peine installé qu’il sentit les lèvres de sa partenaire frôler son gland. Il colla aussitôt les siennes sur son pubis et passa une main entre les cuisses de la jeune fille pour inciter cette dernière à les ouvrir. Elle comprit son intention et passa une jambe au-dessus de lui. La langue de Meredith courait déjà le long de sa hampe lorsqu’il commença à lécher délicatement la vulve en même temps qu’il posait une main sur un sein pour le caresser. Meredith l’imita et passa le bout de ses doigts sur le torse de son amant, qu’elle abandonna cependant rapidement pour s’occuper de ses fesses en alternance avec ses testicules. Les amants poussèrent simultanément un gémissement de bonheur quand leurs bouches devinrent plus gourmandes et que Meredith goba doucement le gland de Derek alors que celui-ci insinuait sa langue entre ses petites lèvres pour atteindre le clitoris. Sitôt après, le chirurgien utilisa ses doigts pour écarter l’intimité de sa compagne, afin de pouvoir accéder plus largement au petit bouton qu’il comptait bien rendre fou. Il l’aspira entre ses lèvres et le suçota délicatement tout en savourant les frissons que faisait naitre la langue de Meredith en s’enroulant autour de son gland ou en passant sur son méat. Lorsqu’il pénétra le vagin de sa petite amie avec ses doigts, elle se crispa l’espace d’une seconde avant d’engloutir son pénis d’un coup sec tout en malaxant ses bourses. La caresse arracha un petit cri à Derek. Vas-y doucement, chérie, lui conseilla-t-il d’une voix à la fois haletante et rauque. Parce que là…

    Elle libéra immédiatement le membre plein de vigueur. Je t’ai fait mal ? s’inquiéta-t-elle.

    Non, non, assura Derek avec un petit rire. Au contraire. Tu me fais beaucoup de bien.

    Alors, je vais continuer, certifia Meredith d’une voix suave, en faisant coulisser lentement le phallus au creux de sa paume. Parce que je n’ai vraiment pas envie d’arrêter. J’aime tellement ça… te lécher, comme ça. Elle donna un nouveau coup de langue sur le bout de son pénis.

    Plus que sa caresse, ce fut son intonation pleine de désir qui fit frémir Derek. Et quand elle reprit son sexe en bouche, en faisant buter son gland au fond de sa gorge, il comprit qu’il n’allait pas pouvoir résister. Il se retira prestement et d’un bond, se retourna pour prendre Meredith dans ses bras. Moi aussi, j’aime ça, mais je connais quelque chose d’encore mieux, murmura-t-il avant de coller ses lèvres à celles de sa compagne. De petits bécots en douces morsures, il ne fallut pas longtemps à leurs bouches pour qu’elles s’ouvrent et qu’elles accueillent la langue de l’autre, celles-ci se caressant avec délectation dans un baiser des plus passionnés. Lorsque leurs lèvres se descellèrent, le chirurgien prit son sexe en main et le frotta délicatement contre la vulve de sa partenaire avant de la pénétrer lentement. Le regard que les amoureux échangèrent fut doux et tendre, tout comme le second coup de rein que donna Derek. Je t’aime, chuchota-t-il avant d’effleurer à nouveau les lèvres de son amie. Ensuite, il cacha son visage dans les cheveux de cette dernière et commença à la prendre par de lents va-et-vient, tout en continuant de lui murmurer des mots doux à l’oreille. Mon amour… Je suis si bien avec toi… Tu es merveilleuse… Je suis tellement heureux… oh chérie, gémit-il. Les yeux fermés et les doigts enfouis dans l’épaisse chevelure de son amant, lui massant doucement le cuir chevelu, Meredith laissa échapper un long soupir de béatitude. Elle rouvrit les yeux et son regard tomba sur le miroir qui lui renvoya l’image de leurs deux corps, avec le bassin de son partenaire qui voyageait de bas en haut et – ce dont elle n’avait pas eu du tout conscience – le sien qui se tendait vers lui comme pour aller le rechercher. Comme s’il avait deviné ce qu’elle faisait, Derek releva le visage et regarda dans la même direction qu’elle. Il eut un sourire à la fois tendre et coquin en découvrant la scène. Etonnamment, la jeune fille ne détourna pas le regard. Comme hypnotisée, elle continua à suivre le ballet de plus en plus rapide des fesses de Derek et de ses lèvres qui happaient un téton pour le suçoter. La dernière vision qu’elle eut fut celle du visage de son amoureux qui se crispait légèrement et de sa propre bouche qui s’ouvrait pour libérer un cri de plaisir.


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :