• CHAPITRE 1144

    Derek rit en hochant la tête. Pas encore. Il pénétra son sexe avec son majeur et son index tandis que son pouce allait secouer le petit bouton.

    Derek ! cria Meredith en se tordant de plaisir avant de se redresser pour venir prendre le visage de son amant entre ses mains. Si tu ne me fais pas l’amour tout de suite, je ne réponds plus de rien.

    Cette fois, il ne résista plus et se releva pour se jeter sur elle, leurs deux corps glissant sur le matelas pour remonter vers le haut du lit. Serrés l’un contre l’autre, ils s’embrassèrent passionnément, alternant baisers et légères morsures, jusqu’à ce que Derek insinue sa jambe entre celles de son amie, pour les lui faire écarter et qu’il puisse venir s’agenouiller entre elles. Après les avoir caressées un peu, il en prit une dans chaque main et les lui fit mettre en l’air de sorte que les mollets reposent sur ses épaules à lui. Tu veux que je te prenne ? Elle hocha doucement la tête. Il l’aida alors à soulever son bassin jusqu’à ce que son membre vigoureux se retrouve devant l’entrée du vagin. Il y pénétra lentement et les gémissements de plaisir des amants se confondirent en un seul. Derek tourna la tête vers la jambe de Meredith pour la mordiller légèrement au niveau de la cheville. Il fit la même chose avec l’autre jambe tout en ne cessant pas d’imprimer à son bassin d’amples mouvements qui comblaient la jeune fille d’aise, à en juger par ses soupirs et petits cris. Cependant, après quelques allers et retours, il eut envie de changer de position. Il se retira de sa partenaire et s’allongea sur le dos, l’entrainant avec lui, de sorte qu’elle le domine. Comprenant ses intentions, elle s’assit à califourchon sur lui et s’empara à pleine main du phallus sur lequel elle s’empala sans plus attendre. Mmm ! Tu es serrée… j’adore, gémit Derek. Fou d’amour et de désir, il ne la quitta pas du regard tandis qu’elle coulissait doucement le long de son pénis et que lui-même caressait ses cuisses, remontant doucement ses mains vers sa vulve où elles firent escale, en profitant pour cajoler un peu le clitoris, avant de repartir dans leur ascension jusqu’à ce qu’elles atteignent les seins dont les tétons pointaient vers l’avant. Derek empoigna les deux globes et les pétrit délicatement, s’amusant parfois à saisir les pointes pour les faire rouler entre ses doigts. Caresse-toi, quémanda-t-il à nouveau d’une voix pleine de fièvre.

    Cette fois, Meredith ne fit plus d’objections, que du contraire. C’était tellement agréable, ces vagues de plaisir qui arrivaient de partout. Tandis que son index agitait son petit bouton, elle ne put s’empêcher de penser au chemin qu’elle avait parcouru en matière de sexe. Il était bien loin le temps où elle considérait certaines pratiques comme des choses peu agréables auxquelles il fallait se résoudre pour satisfaire son partenaire et le garder. Grâce au talent de son amant, elle oubliait ses réserves et était prête à tout pour lui donner du plaisir mais aussi en retirer. Elle était devenue son esclave aussi sûrement qu’elle l’avait dompté. Elle eut soudain envie de le sentir plus, de le sentir mieux. Elle cessa de se caresser et se pencha vers l’avant. Après avoir donné un long baiser à son amoureux, elle se redressa légèrement et, prenant appui sur ses bras, recommença à monter et descendre le long de la verge, le rythme augmentant à chaque passage. Derek releva un peu le buste pour arriver à téter les seins mais il se laissa vite retomber en arrière. Le plaisir était tellement fort qu’il avait besoin de garder toutes ses forces pour lutter contre sa montée trop rapide. Les mains crispées sur les hanches de son amie et les yeux plongés dans les siens, il la soutint dans son effort, attendant avec impatience le moment où elle jouirait pour pouvoir se laisser aller à son tour. Lorsqu’elle commença à se mordre les lèvres tout en poussant de petits cris, il sut que leur délivrance était proche. Oh… oh… oui… oui, couina-t-elle, agrippée aux épaules de Derek, les ongles enfoncés dans sa chair. Je v… je vais… jou… – les yeux de la jeune fille se fermèrent soudain – iiiiiiirrrrrrrrr. De violentes contractions broyèrent le sexe de Derek qui grogna sauvagement en éjaculant. Il prit Meredith contre lui et la serra dans ses bras le temps que les soubresauts qui les agitaient se calment. Oh c’est bon, geignit-elle encore avant de nicher plus profondément son visage dans le cou de son amant. 

    On a un gros problème, susurra ce dernier après quelques secondes.

    Lequel ? dit Meredith d’une voix alanguie. Vu le ton employé par Derek, il n’y avait vraisemblablement pas de quoi s’en faire.

    J’arrive pas à débander, lui annonça-t-il. Il la repoussa légèrement et elle sentit alors que la verge qui se retirait d’elle était encore dure. 

    C’est grave ? se renseigna-t-elle en se laissant glisser à côté de son amoureux, pour pouvoir regarder l’organe rouge et gonflé.

    Pour moi, non, dit-il en souriant. Pour toi peut-être, parce que je vais devoir te faire l’amour encore et encore, jusqu’à ce que ça se calme. Meredith s'esclaffa et il la reprit dans ses bras pour l’embrasser fougueusement. Il s’écarta assez vite. Mets-toi à quatre pattes, la pria-t-il fébrilement en se mettant à genoux en même temps. Elle fit comme il le lui disait et présenta ses fesses arrondies devant son phallus qui s’y insinua hâtivement. Derek se pencha sur son amie. Je t’aime, lui murmura-t-il à l’oreille. Elle tourna la tête vers lui et il lécha la langue qu’elle lui tendait. Ensuite, il se redressa et, se tenant à ses hanches, commença à lui donner de lents et longs coups de reins qu’il alterna presque tout de suite avec des coups beaucoup plus légers et rapides. L’effet ne se fit pas attendre. Leurs gémissements résonnèrent dans la pièce, se faisant écho. C’est bon, geignit Derek.

    Oh oui, haleta Meredith que rendait folle la sensation de l’imposant pénis pénétrant ses chairs et se frottant à ses parois intimes. Je te sens trop bien. N’arrête pas. Elle posa sa tête sur le matelas et porta une main à son clitoris qu’elle caressa fébrilement. L’excitation de Derek monta à son paroxysme et il fut soulagé lorsqu’il sentit les premiers spasmes du plaisir contracter le vagin de Meredith, signe qu’il pouvait libérer sa jouissance. Il le fit dans un grand cri, avant de se laisser tomber lourdement sur le corps de sa partenaire.


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