• CHAPITRE 1080

    Le regard plongé dans celui de Meredith, Derek gémissait au rythme de la main qui allait et venait autour de son pénis, tandis que les siennes exploraient le corps de la jeune fille, parcourant ses seins, son ventre, son dos, ses fesses et ses cuisses en une caresse affamée et désordonnée. Leurs bouches se cherchèrent et fusionnèrent en un baiser impatient lorsqu’il la saisit à la taille pour la soulever de quelques centimètres. Les doigts toujours solidement serrés autour du phallus, elle guida celui-ci jusqu’à l’entrée de son vagin avant de s’empaler sur lui. Oh c’est bon, geignit Derek en se serrant contre elle, pour l’empêcher de bouger. Leurs poitrines plaquées l'une contre l'autre, il lui reprit la bouche quelques secondes avant de se jeter sur ses seins. Avec son sexe fiché en elle, ses lèvres baisant ses globes laiteux et ses doigts malaxant la chair ferme de ses fesses, il avait l’impression d’être au paradis. Mais son bel ange, voulant aussi avoir sa part de plaisir, le repoussa doucement et, prenant appui sur ses épaules, commença à coulisser sur le mât dressé. Les yeux fermés, elle savoura un instant la merveilleuse sensation du sexe qui l’investissait. Quand elle rouvrit les paupières, elle croisa le regard extasié de Derek qui la fixait. Tu es si belle. Il plaça ses mains de part et d’autre du cou frêle de son amoureuse avant de descendre lentement jusqu’à ses épaules pour finalement lui saisir les seins à pleines mains. C’est trop bon de te prendre comme ça. Je suis en toi et en même temps, je peux te regarder… et t’embrasser – il joignit le geste à la parole en pinçant délicatement les lèvres de Meredith entre les siennes – et te caresser. Il resserra son étreinte sur les globes, pour les pétrir un peu avant de frotter ses paumes contre les petits tétons. Cependant, il les abandonna assez vite pour promener ses doigts sur les bras de son amie, dans son dos, sur ses fesses et ses cuisses. C’était comme s’il n’avait pas assez de ses deux mains. Il aurait voulu en avoir six, et deux ou trois bouches aussi, pour être partout à la fois. Et pendant ce temps-là, Meredith continuait d’aller et venir lentement sur lui en poussant de petits soupirs de bien-être. Il l’imita quand elle baissa le regard vers leurs sexes et ils restèrent longtemps, les yeux fixés sur ce membre puissant qui apparaissait et disparaissait dans son antre. Oh ça m’excite ! gémit-il enfin.    

    Moi aussi, confessa Meredith d’une petite voix aigüe, en précipitant un peu le mouvement.

    Derek la soutint aux hanches, pour lui faciliter la tâche, mais la fit arrêter très rapidement. Je t’aime, dit-il avant de fondre sur sa bouche pour un baiser voluptueux, prenant tout son temps pour explorer sa bouche, tantôt en léchant son palais, tantôt en aspirant et suçotant sa langue. Quand il la libéra, il remit ses mains sur ses hanches pour lui imprimer un rythme plus lent. Vas-y doucement, bébé, l’implora-t-il. J’ai envie que ça dure longtemps. Avec un doux sourire, elle ondula lentement du bassin, promenant son sexe trempé sur toute la longueur de la verge raide, en contractant très légèrement son vagin à chaque passage. Tu me rends complètement dingue, lâcha-il d’une voix sourde, en lui empoignant les seins. Elle posa ses mains sur les siennes, comme pour l’inciter à pétrir franchement plus franchement ses rondeurs. Il ne se fit pas prier et elle sentit la chaleur de ses paumes se diffuser dans sa poitrine.

    Toi, aussi, tu me rends dingue, haleta-t-elle. Je ne veux pas que ça s’arrête. C’est trop bon.

    Attends, on va faire autrement, lui dit-il après quelques minutes. Se laissant guider par lui, elle lui tourna le dos et s’accroupit légèrement au-dessus du pénis qu’il lui présentait. Elle l’accueillit avec un petit cri et commença directement à aller et venir sur lui. Derek se colla à elle et reprit ses seins en mains, pour les caresser voluptueusement, en même temps qu’il parsemait le haut de son dos d’une multitude de baisers. Très vite, cependant, il l’entraîna avec lui en arrière.

    Elle se retrouva allongée sur lui, le dos appuyé contre son torse, les jambes écartées avec toujours ce phallus qui était planté en elle. Elle ferma les yeux pour savourer les caresses que les deux mains viriles prodiguaient à ses seins, les massant délicatement avant de pincer les tétons pour les faire se dresser encore plus. Mais ses yeux se rouvrirent dès que l’index, que Derek avait d’abord pris soin d’humidifier avec sa salive, vint se plonger entre les petites lèvres pour titiller le clitoris. Un long gémissement s’échappa de la gorge de la jeune fille. Oh ouiiiii… continue ! Derek lui obéit docilement, ravi d’entendre les petits cris de plaisir qu’elle poussait. Quand il la sentit prête à jouir, il arrêta et exerça une légère pression sur ses fesses, pour qu’elle les soulève un peu. Elle comprit ce qu’il attendait d’elle et prit appui sur ses bras et ses jambes pour rehausser son bassin et recommencer à coulisser sur le phallus de son amant. Leurs gémissements se firent très vite écho. Pour soulager sa compagne, Derek la soutint aux hanches et ce fut lui qui donna les coups de bassin, en variant le rythme de sa pénétration. Les cris s’intensifièrent avec les coups de butoir et les Oui… oh oui de Meredith résonnèrent comme autant de supplications. Toutefois, parce qu’il était conscient de ce que cette position pouvait avoir d’inconfortable pour elle, à long terme, et aussi parce qu’il voulait être plus proche d’elle, la regarder dans les yeux, l’embrasser, la caresser, il se retira d’elle et la repoussa doucement sur le matelas. Elle lui tendit les bras et il s’y précipita, le cœur gonflé d’amour et de bonheur. Leur baiser fut d’abord tendre puis plus passionné pour finalement devenir presque sauvage. Leurs langues s’emmêlèrent au même rythme que leurs mains explorant frénétiquement chaque parcelle de leurs corps. Ils avaient tellement envie l’un de l’autre et leur désir était si fort qu’ils en avaient mal. Ils poussèrent un même soupir de soulagement lorsque le membre vigoureux de Derek réintégra l’intimité de Meredith. Prends-moi fort, le conjura-t-elle d’une voix vibrante d’impétuosité. Je veux te sentir. Il saisit les jambes généreusement écartées de son amie, pour les replier contre son ventre, avant de la pénétrer d’un coup sec, en faisant buter son pénis au fond du vagin. Il ressortit aussitôt pour la reprendre en une série d’allers retours de grande amplitude, chacun de ses mouvements étant ponctué par leurs cris. Il la posséda longtemps, très longtemps, avec la sensation que son cœur battait à en jaillir de sa poitrine et que sa respiration allait s’arrêter. Lorsqu’elle se redressa brusquement pour s’agripper à son cou, il comprit le message et accéléra le mouvement. Quelques secondes plus tard, elle jouissait bruyamment tandis qu’il s’écroulait sur elle en libérant son plaisir dans un râle sonore.  


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